Candidats, candidats !!!
En Amérique la présidence ne s’obtient pas sans s'agiter pendant plusieurs années. Il y a d’abord une sorte de vote préliminaire dans les Etats et une nomination individuelle pour chacun des deux partis.
En l’espèce on a l’ambitieuse Hillary CLINTON, sénatrice, flanquée du charismatique Bill qui essaie de se faire remarquer sans trop s’imposer puisqu’il a régné déjà 8 ans, ce qui est un maximum. Dommage qu’après avoir laissé son tour il ne puisse se représenter.
En Amérique du Sud la grande mode c’est d’élire la femme de l’ancien président, forcé de se retirer. Sera-ce la même chose aux USA ? PUTINE en proie au même problème et ne voulant pas bousculer la Constitution a songé aussi à faire élire sa femme mais finalement gagner les élections législatives et se nommer premier ministre c’est peut-être suffisant pendant 4 ans puisqu’il peut se représenter après, contrairement aux autres.
Aux USA ils ont aussi le métis Barack OBAMA fils d’Africain qui n’est pas plus noirci que Wentworth MILLER le héros de Prison Break, également métis. Malheureusement sa femme très diplomée semble un peu idiote puisqu’elle dit qu’il a mauvaise haleine au réveil. Malgré son « charisme » de gaucher gauchisant (comme CLINTON) il risque de perdre à cause de cette cruelle et très importante remarque.
John EDWARDS ramasse pas mal de dollars pour la campagne mais sa femme, très capable, a un cancer incurable. Ce mot de cancer n’est pas très électoral.
Rudolph GIULIANI, un républicain, semble un peu parano ; il ne parle que du 11 septembre car il était sur place un des premiers en tant que maire de New York. Il a déjà eu le cancer et en est à sa troisième femme légale qui a divorcé trois fois. Il apparaît plutôt comme un comédien fantaisiste.
Mitt ROMNEY, un républicain, a une femme atteinte de mucoviscidose, manque de chance. Les républicains n’ont guère de perspectives à cause de la guerre d’Irak et de BUSH qu’on déteste de plus en plus.
On va donc probablement se retrouver en face des époux CLINTON.
Ici, Ni-Po-Stef l’agité donnait une interview pour expliquer sa politique de réformes. Tout est justifié par le fait qu’il a à cœur de remplir ses promesses, au contraire des prédécesseurs qui ne voulaient surtout pas qu’on en parle. PPdA semblait endormi ou surmené. Arlette CHABOT récitait son pensum en s’efforçant de paraître agressive mais le cœur n’y était pas. Le plus en forme c’est LUI, l’homme des promesses.
M.Th.30 novembre 2007
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