Wednesday, November 28, 2007

GUERRE ET PAIX III (3 sur 4)

Guerre et Paix III (3 sur 4)

On assiste à une paix armée. NAPO un touriste caractériel voudrait aller à Moscou et accumule les soldats. KUTUZOV (il suffit de prendre un petit gros et de lui crever un œil) est nommé chef par ALEXANDRE Ier, ce qui l’honore mais lui donne des soucis.

Pendant ce temps d’attente Anatole l’affreux séducteur entreprend Natasha (Clémence POESY née GUICHARD, 25 ans) qui joue les gamines de 15/16 ans, troublée par le bel uniforme rouge à boutons. C’est pour se venger du prince André, toujours aussi froid qu’un frigo, qui s’attarde à ses devoirs militaires à la frontière. Il l’affole à l’aide de sa sœur Héléna BEZUKHOVA en lui faisant croire à ses sentiments corroborés par une fausse tentative de suicide. Natasha est prête à s’enfuir mais on l’enferme. Son père ROSTOV sans le rouble mais très bon père a du souci avec son fils endetté et l’autre plus jeune déjà pris par le virus de la guerre considérée comme un jeu (sera-t-il tué par la suite ?). La fille donc est en crise et ce scandale vient aux oreilles d’André en son bel uniforme à base de vert. Rupture de fiançailles et remords de la belle. Marya (Valentina CERVI) la sœur d’André aurait bien mieux joué ce rôle ; elle est la victime de son vieux père complètement fou mais respecté comme maître du domaine.

Finalement Anatole, le technicien de l’amour retourne à l’armée mais André a la main sur son pistolet dans le but de le trucider.

NAPO traverse le Niémen, il faut l’arrêter, il a pris Smolensk (bizarrement ALEXANDRE nommera KUTUZOV prince de Smolensk !) et on arrive à Borodino (= barbe) où le canon tonne et les uniformes bien voyants se font hacher (pas encore besoin d’uniformes kaki vu le peu de précision des armes).

Pierre qui a décidé de financer un régiment ( !) se balade en uniforme blanc à cheval en complète inconscience. A force de se faire chambrer il va à la guerre. Borodino gronde et Pierre bientôt rampe sans son cheval ridiculement entre les guerriers. Il survit.

Mais André reçoit la mitraille, il gît à côté d’Anatole mourant et lui serre la main juste avant son dernier soupir de fêtard.

« Pierre, ramène-moi à la maison, je veux la voir, me pardonnera-t-elle ? » On en est sûr. Suite au prochain numéro.

M.Th.20 nov.2007

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