Friday, December 21, 2007

LA CLEF

La Clef

Film policier où on voit quelques acteurs connus dont Guillaume CANET, premier rôle, avec Marie GILLAIN et Thierry LHERMITTE.

Ca commence par deux ou trois scènes sans liens factuels ou chronologiques entre elles.

Un homme se fait brûler à l’essence par des malfrats qui le contemplent, une femme à l’hôpital pleure l’absence de son môme et Thierry découvre une image médicale de tumeur au cerveau. Le seul remède c’est une greffe de la part de sa fille disparue dans la nature. Une greffe de tête ? On ne comprend pas très bien.

Le Guillaume et la Marie reçoivent et les invités veulent qu’ils aient un enfant. De même Marie. Où est le problème ? Le Guillaume ne répond pas, elle pleure. Comme le mâle est très actif pourquoi pleure-t-elle ?

La voix de Jean ROCHEFORT téléphone qu’il veut donner les cendres du père de Guillaume. Celui-ci fait son Gérard LENORMAND et n’est pas intéressé mais y va le lendemain. Magnifique pot de cendres, photo du père en soldat d’Algérie avec le Jean et on s’en va mais il pleut à torrent (le clou du film !) et l’essuie-glace ne marche pas. De sa voiture s’approche Vanessa PARADIS l’allumeuse ; il ne veut pas, sort et reçoit un coup sur la tête. On le retrouve dans un coffre de voiture, on l’extrait et on le brutalise. Il ne sait pourquoi, nous non plus.

Finalement ils le lâchent, plus de pot de cendres.

Pendant ce temps le Thierry fait rechercher sa fille (c’est Vanessa !) par un barbu qui accepte après avoir reçu une grosse montre ! Ils l’ont tellement enlaidi que lui seul paraît crédible dans son rôle.

Le Guillaume retourne voir ROCHEFORT qui est son tonton, la femme qui hurle c’est sa sœur, mère de Guillaume.

Le pot se retrouve miraculeusement sur le seuil de la maison de Guillaume, Marie va pleurer chez sa mère et Guillaume revisite l’endroit où il avait été détenu ; Vanessa s’y trouve, enchaînée comme du temps de LOUIS XI. Dites-moi pourquoi ?

Coups de poignard, coups de feu et Vanessa est emmenée à l’hôpital, en même temps (?) que le Thierry … qui mourra.

J’allais oublier BALASKO avec son adjoint confident, une commissaire de police apparaissant jour et nuit pour lancer quelques phrases psycho-chinoises creuses. Quelle est son utilité ?

Le plus énervant c’est l’allumage d’une vingtaine de cigarettes par Guillaume qui n’a trouvé que ce procédé d’intéressement lorsqu’il ne sait pas quoi dire, ce qui est toujours le cas. On sait qu’il ne les fumera pas mais c’est le lien privilégié des scènes du film. Deux heures très lentes sans musique c’est long pour un film mal foutu. Où est la clef ?

M.Th.20 déc.2007

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