BHL (Lévy) a encore pondu un ou deux livres de philo et se trouve en permanence à la TV. Il n’a pas besoin de pub vu sa fortune mais vend aux intellectuels suiveurs, ce qui provoque des discussions aux «plus hauts niveaux». Il ne manque pas de contradicteurs. Une chose substantielle qu’il a dite est « que la religion juive n’est pas entièrement qu’une religion ». C’est plus profond qu’il n’y parait car sans cette religion plus ou moins délaissée par les «grands esprits» à l’abri il y a longtemps que le peuple Juif n’existerait plus.
Michel ONFRAY «l’ennemi» de Dieu dont il nie l’existence continue à conférer devant un public enthousiaste, à tel point qu’on se demande s’il n’y croit pas un peu puisqu’il est obsédé par Lui.
Sarko a nommé deux personnalités de religion socialiste à des postes importants avec la paie qui convient. Ils devraient ou se perdre en reconnaissance ou un beau jour lui cracher dessus. Il faut se sentir fort pour le faire bien que beaucoup de sages pensent que c’est normal de faire travailler l’opposition. Ce n’est pas habituel en France.
Le savant et les garçons est une émission tardive vue par hasard. Il s’agit de David Carleton GAJDUSEK (prononcé ; Gaill-dou-chek, nom Slovène). Né en 1923 cet enfant de 6 ans a été chatouillé par son oncle et n’a jamais eu de goût pour les filles. Les dispositions arrivent très tôt. Il disait que c’était la première fois que quelqu’un s’intéressait à lui pour «autre chose que pour son intelligence». Il a expédié ses études de médecine rapidement, obsédé par l’éventualité perpétuelle d’un suicide. A l’hôpital ne le préoccupaient que des maladies inguérissables. Il a probablement trouvé des solutions car il a eu le prix NOBEL. Entre temps il est devenu ethnologue en vivant avec une tribu sauvage qui pratiquait le cannibalisme et laissait librement les garçons sexuellement actifs entre eux jusqu’au mariage. En fait après des essais poussés Carleton les a guéris du «kuru» (avec prions) maladie mortelle venant du cannibalisme. Il eu 60 fils adoptifs et au moins une fille de type Vietnamien. Les enfants étaient éduqués et «heureux». L’un d’eux s’est plaint d’attouchement et le «bon docteur» a été condamné par la Justice Américaine. Il mourut en Norvège (!) en 2008. M.Th. 25 février 2010
Thursday, February 25, 2010
Monday, February 15, 2010
Le ruban blanc
C’est un film en noir et blanc de Michael HANEKE qui a obtenu la palme d’or à Cannes en 2009. Il s’agit des souvenirs de l’ancien instituteur à propos du village où il exerçait. Il n’y avait vraiment pas besoin de mettre autant de noir. On suppose que c’est en Allemagne ; on croirait que c’est le Moyen Age mais il y a un vélo et les vêtements. Des « crimes » ont lieu dans la société dominée par le pasteur, le docteur et le baron. Les ribambelles de mômes sont uniformément en noir et blêmes sous la rude éducation. Le pasteur aussi dur qu’une statue parle de séances de coups de trique. On ne distingue que très peu qui est le père de qui tant le film est uniformément noir. Les sous-titres blanc sur blanc nécessitent une vision d’aviateur.
Le docteur à cheval commence par tomber à cause d’un câble mystérieux installé entre deux arbres. Puis une femme meurt dans un accident. On voit la toilette mortuaire des pieds. Le fils rend le baron responsable et fauche les choux du baron ! Mais le père en devient dingue car il perd son travail au château.
S’est-il finalement pendu ou c’est le fils ? : un jeune ouvre la grange et il semble qu’il y avait un pendu mais c’est tellement noir qu’on n’en distingue rien. Après il y a 5 ou 6 hommes en noir et un gros cercueil.
Le pasteur représente à son fils Martin les conséquences de la masturbation qui mène immanquablement à la mort. Bien obligé il avoue et on le retrouve attaché la nuit à son lit. Il sera peut-être alors digne de la confirmation avec les autres dont la fille du docteur qu’il confirme avec hésitation car il sait que le docteur la chatouille. Après les soins à sa blessure et la mort du cheval à cause de l’attentat on voit que le docteur s’ennuie comme un rat mort : la séance où il méprise sa maitresse la sage-femme est gratinée. La baronne aussi rue dans les brancards ; elle s’en va et revient avec les enfants, ça chauffe froidement.
On raconte que le fils du baron (?) qui est mongolien a été sauvagement battu. Par qui ? Dieu seul le sait. Difficile de savoir qui est Clara, qui est Anna.
Eva, 17 ans, qui s’occupait des jumeaux n’a pas vu ce crime ; elle est renvoyée et l’instituteur en est amoureux mais il faudra attendre un an pour les épousailles car son salaire est nécessaire au père. Touchantes amours ; pas besoin de préservatifs en ces temps reculés.
La baronne va partir parce qu’elle est amoureuse à la ville. Le noble en est furieux mais doit se consoler en douce.
Finalement le grand-duc Franz-Ferdinand est assassiné. Mais bien sûr, c’est la guerre 14 ! L’instit part en 17 et revient pour reprendre le métier de son père, tailleur, qui rapporte beaucoup plus.
Deux heures et demie pour ne pas savoir qui a commis les « crimes » et si Eva a épousé le narrateur (à moins que j’aie manqué la nouvelle en dormant une minute).M.Th.
Le docteur à cheval commence par tomber à cause d’un câble mystérieux installé entre deux arbres. Puis une femme meurt dans un accident. On voit la toilette mortuaire des pieds. Le fils rend le baron responsable et fauche les choux du baron ! Mais le père en devient dingue car il perd son travail au château.
S’est-il finalement pendu ou c’est le fils ? : un jeune ouvre la grange et il semble qu’il y avait un pendu mais c’est tellement noir qu’on n’en distingue rien. Après il y a 5 ou 6 hommes en noir et un gros cercueil.
Le pasteur représente à son fils Martin les conséquences de la masturbation qui mène immanquablement à la mort. Bien obligé il avoue et on le retrouve attaché la nuit à son lit. Il sera peut-être alors digne de la confirmation avec les autres dont la fille du docteur qu’il confirme avec hésitation car il sait que le docteur la chatouille. Après les soins à sa blessure et la mort du cheval à cause de l’attentat on voit que le docteur s’ennuie comme un rat mort : la séance où il méprise sa maitresse la sage-femme est gratinée. La baronne aussi rue dans les brancards ; elle s’en va et revient avec les enfants, ça chauffe froidement.
On raconte que le fils du baron (?) qui est mongolien a été sauvagement battu. Par qui ? Dieu seul le sait. Difficile de savoir qui est Clara, qui est Anna.
Eva, 17 ans, qui s’occupait des jumeaux n’a pas vu ce crime ; elle est renvoyée et l’instituteur en est amoureux mais il faudra attendre un an pour les épousailles car son salaire est nécessaire au père. Touchantes amours ; pas besoin de préservatifs en ces temps reculés.
La baronne va partir parce qu’elle est amoureuse à la ville. Le noble en est furieux mais doit se consoler en douce.
Finalement le grand-duc Franz-Ferdinand est assassiné. Mais bien sûr, c’est la guerre 14 ! L’instit part en 17 et revient pour reprendre le métier de son père, tailleur, qui rapporte beaucoup plus.
Deux heures et demie pour ne pas savoir qui a commis les « crimes » et si Eva a épousé le narrateur (à moins que j’aie manqué la nouvelle en dormant une minute).M.Th.
Vincere(e perdere)
Ce film de Marco BELLOCCHIO a un grand succès du fait qu’il raconte un amour de jeunesse (secret ?) de Benito Amilcare Andrea MUSSOLINI (1883+45)=mousseline) pour Ida DALSER (Giovanna MEZZOGIORNO= midi) qui ont eu un fils Benito Albino. Quand on voit le grotesque dictateur des actualités (1m69) on est étonné de voir le mince Filippo TIMI (au moins 1m80) le jouer avant sa nomination comme premier ministre par le roi « nain »(1m53) Vittorio Emanuele III (1869+47). L’atmosphère hurlante des meetings et le noir et blanc inspirent des sensations du Moyen Age. MUSSO voulait la guerre : il l’a eu et s’est trouvé blessé à la Guerre 14. Le petit roi l’a visité et bientôt MUSSO a eu le pouvoir jusqu’à la fin.
Le XIXème et le XXème siècles ont aimé la guerre et ensuite la guerre froide. Les dictateurs ont été faits grâce à la radio et aux actualités très suivies qui ont chauffé les foules. Le dernier produit du transistor c’est NASSER. Actuellement avec la TV, à cause de sa rapidité et de ses enregistrements, on devrait être à l’abri des outrances. L’art de la politique devient impossible. Ne s’en sortent que ceux qui une fois installés pratiquent le silence et l’inaction car ils sont inattaquables parce que mystérieux et même populaires.
La femme ou maitresse de MUSSO a donné toute sa fortune à celui-ci qui lui a fait un reçu afin qu’il puisse faire paraitre son journal : » Il popolo Italiano ». Le film montre que MUSSO ne voulait pas sembler bigame puisqu’il avait épousé Rachele GUIDI (5 enfants). Le certificat de mariage fut recherché par sa police, mais est-ce plutôt le reçu qu’ils cherchaient ?
Ida a donc passé sa vie enfermée dans un asile ou chez les bonnes sœurs dont la supérieure disait que toutes Italiennes voudraient être femme ou maitresse de MUSSO. Celui-ci disait d’ailleurs : « les gens c’est comme les femmes ils suivent les vainqueurs ».
Le fils persécuté par ses condisciples qui lui faisaient singer son père dans ses speeches comiques terminera à 27 ans dans un asile psychiatrique ; il mourut donc jeune comme sa mère sans être reconnu bien clairement. Belle tragédie classique, période folle bien rendue.
Le XIXème et le XXème siècles ont aimé la guerre et ensuite la guerre froide. Les dictateurs ont été faits grâce à la radio et aux actualités très suivies qui ont chauffé les foules. Le dernier produit du transistor c’est NASSER. Actuellement avec la TV, à cause de sa rapidité et de ses enregistrements, on devrait être à l’abri des outrances. L’art de la politique devient impossible. Ne s’en sortent que ceux qui une fois installés pratiquent le silence et l’inaction car ils sont inattaquables parce que mystérieux et même populaires.
La femme ou maitresse de MUSSO a donné toute sa fortune à celui-ci qui lui a fait un reçu afin qu’il puisse faire paraitre son journal : » Il popolo Italiano ». Le film montre que MUSSO ne voulait pas sembler bigame puisqu’il avait épousé Rachele GUIDI (5 enfants). Le certificat de mariage fut recherché par sa police, mais est-ce plutôt le reçu qu’ils cherchaient ?
Ida a donc passé sa vie enfermée dans un asile ou chez les bonnes sœurs dont la supérieure disait que toutes Italiennes voudraient être femme ou maitresse de MUSSO. Celui-ci disait d’ailleurs : « les gens c’est comme les femmes ils suivent les vainqueurs ».
Le fils persécuté par ses condisciples qui lui faisaient singer son père dans ses speeches comiques terminera à 27 ans dans un asile psychiatrique ; il mourut donc jeune comme sa mère sans être reconnu bien clairement. Belle tragédie classique, période folle bien rendue.
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- Michel Bolechette
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