Propos hérétiques

Ce n’est pas moi qui l’ai remarqué mais c’est un fait : on devrait exécuter les vieux un an avant leur mort car la dernière année on dépense pour eux grâce à la Sécu davantage que dans toute leur vie antérieure. On pourrait bien sûr épargner ceux qui peuvent payer le ticket modérateur comme Liliane Bête en Cour d’autant plus que sa fille courroucée va sûrement payer les 600 millions d’impôt en Suisse. A part ces exceptions illustres et argentées on va peut-être installer la retraite des sur-vieux calculée à partir de 92 moins un, 91 moins un … selon les données statistiques des super-ordis.
Benoit XVI en courageux Allemand est allé vaillamment en Angleterre mais malgré ses offres de recrutement aux pasteurs qu’il laisserait mariés n’a pas réussi à les débaucher. En effet on lui lance toujours à la face les pédophiles. Hélas une bulle papale n’est pas suffisante pour les dégonfler. JEAN-PAUL le futé avait négligé le problème. Ce BENOIT se fatigue : qu’il fasse gaffe à la retraite appliquée aux sur-vieux.
Nous avons la civilisation judéo-chrétienne mais Benoit semble favoriser une civilisation islamo-judéo-chrétienne à force de rencontres et palabres. Ma sœur me dit : « Le curé est parti (trop vieux, défroqué ou pédophileux ???) mais on a une mosquée « Ils sont donc sauvés mais comment réconcilier un Dieu unique : Jéhovah ou Allah avec un Dieu unique en trois personnes Père, Fils et Saint Esprit ? C’était déjà un mystère que certains essayaient d’appréhender mais maintenant qui va s’en occuper ? Sûrement pas le philosophe Michel ONFRAY qui nie tellement l’existence de Dieu qu’on se demande … s’il n’est pas pistonné par Lui.
En attendant des évènements funèbres prévisibles on se demande pourquoi on élit toujours un vieux à la tête des Institutions les plus importantes alors que les jeunes voudraient travailler à 30 ans et être en retraite à 35. Si on regarde l’âge du plus jeune cardinal on voir que ce Hongrois approche de 60 et qu’il est un spécialiste du droit moyenâgeux. C’est très prometteur !
On a plus de chances avec les présidences : dès qu’on a 10 ans d’ancienneté dans un parti on se retrouve candidat valeureux, qu’on soit capable ou non. Au moins ici on peut applique sans complexe la maxime : « Ote-toi de là que je m’y mette ». M .Th. 25.9.10